Parce que l’entrepreneuriat est un puissant moteur de croissance économique, encourager les vocations d’entrepreneurs et promouvoir l’esprit d’entreprise dans toutes les composantes de la société figurent parmi les principales missions des acteurs défendant son écosystème : en France, plus de la moitié de la création de la richesse nationale provient des entrepreneurs et de leurs PME.

 

Encourager l’entrepreneuriat, c’est donc apporter une réponse concrète au chômage. Pour preuve, les entrepreneurs français sont à l’origine de la création de 1.800.000 emplois depuis le début du 21ème siècle[1], et ce, malgré d’énormes difficultés. En Europe, au cours des dix dernières années, le chiffre monte à 85% des créations nettes d’emploi[2].

 

Pas d’emploi sans croissance économique, pas de croissance économique sans entrepreneurs, pas d’entrepreneurs sans un écosystème entrepreneurial dynamique. Même si l’activité entrepreneuriale de la France se porte bien[3], notre pays peut encore mieux faire si on le compare à ses voisins et notamment la Grande-Bretagne[4]. Il convient donc de poursuivre les efforts afin de stimuler et d’accroître l’efficacité des cinq leviers de cet écosystème fort :

  • D’une culture entrepreneuriale bien ancrée
  • De la présence de nombreux réseaux d’accompagnement ou d’expertise sur tous les sujets de l’entreprise
  • D’un accès au financement simplifié et diversifié pour les créateurs et repreneurs d’entreprise
  • D’un accès au marché facilité pour les créateurs et repreneurs d’entreprise
  • De politiques publiques qui encouragent et soutiennent les entrepreneurs

Ce mini-site a pour objet de présenter des propositions portées par le collectif #entreprendre2017, un collectif d’entrepreneurs rassemblés autour d’une volonté commune, celle de répondre à trois questions essentielles au dynamisme d’un écosystème entrepreneurial performant :

  •  Comment donner l’envie d’entreprendre au plus grand nombre ?
  • Comment favoriser le passage de l’idée au projet ?
  • Comment assurer les meilleures conditions de développement d’une entreprise durant ses trois premières années d’existence ?
 

Nous vous donnons rendez-vous le 30 janvier prochain pour découvrir l’ensemble de ces mesures dans le détail.

 

[1] Banque mondiale, juin 2015
[2] OCDE, novembre 2015
[3] Tendance à la hausse sur les 12 derniers mois (+5,7%) : Insee, décembre 2016
[4] La France en 3ème position après la Suède. Grande-Bretagne à la 1ère place : « Entrepreneurship at a glance 2016 », OCDE, septembre 2016